REDUISEZ VOS IMPOTS en m’aidant à terminer mon 2ème film dédié au SCANDALE SANITAIRE DU TRANSACTIVISME.
Les résidents français peuvent également faire un don à l’association Ninsun Project co productrice déléguée du film et recevoir en échange un reçu fiscal leur permettant de déduire 66% de la somme de leurs impôts (60% pour une entreprise). Pour cela m’envoyer un mail : contact@dragonbleutv.com
Ce 2ème film « Mauvais genre – un scandale sanitaire » passe en revue les traitements hormonaux et chirurgicaux des traitements de réassignation sexuelle, et leurs effets secondaires souvent dévastateurs. Le film détaille le modèle économique de ces traitements administrés sans autorisation de mise sur le marché, remboursés intégralement par les systèmes de santé alors même que les transactivistes réclament la décorrélation complète de la transidentité de toute notion de dysphorie ou de pathologie psychiatrique. Ensuite j’identifie les acteurs de la trans industrie, les circuits économiques des philanthropes alliés, au niveau mondial ainsi qu’en France, dont les revenus croissent de façon exponentielle à mesure que se répand la nouvelle religion « trans humaniste » promotrice d’une humanité refabriquée sous cachetons à vie.
Avec le concours de personnes trans critiques de l’idéologie du genre, j’explique ce qu’est l’autogynéphilie, à distinguer du véritable transsexualisme très rare, et nous en verrons les conséquences : la banalisation des paraphilies qui s’imposent partout dans l’espace public, jusqu’à l’école primaire, la criminalisation progressive de toute démarche de protection de l’enfance et la levée de toute restriction d’âge pour les traitements de réassignation sexuelle qui sont parfois administrés sans consentement parental. A ceci s’ajoute la censure des universitaires critiques du genre, la généralisation des bloqueurs de puberté et cette nouvelle « identité » terrifiante défendue par le lobby mondial des professionnels de la réassignation sexuelle : male to eunuque, ou l’eunuquisme. Nous évoquerons également la série de revers enregistrés par la transindustrie en Grande Bretagne et dans le monde, dans un contexte ou le trouble à l’ordre public et l’aspect antisocial du transactivisme est de plus en plus flagrant.
Parce que la censure de la liberté d’expression se traduit aussi par une censure économique, votre don peut faire toute la différence. contact@dragonbleutv.com
Voir mon interview par Rebelles du Genre.
Voici des nouvelles du financement participatif du film documentaire en deux parties « MAUVAIS GENRE ».
Grâce à vous le premier film de 90 minutes est terminé.
Il reste 15000 euros à trouver pour finaliser la post production du second, qui va largement dépasser les 90 minutes.
Je vous invite à découvrir ce nouvel extrait édifiant, et partager cet appel autour de vous !
Faire un don pour le film : https://www.dragonbleutv.com/shop/
Teaser du film « Mauvais genre – un scandale sanitaire » :
Les personnes consultant pour un trouble de l’identité de genre ont augmenté de +5000% en quelques années. Cette vague affecte une majorité d’adolescents (entre 15 et 20 ans) convaincus par des adultes que pour trouver sa véritable identité il faut mutiler son corps, afin de le conformer aux stéréotypes de l’autre sexe.
Depuis 4 ans l’idéologie du genre nous est assénée partout à coups de documentaires, magazines TV, cinéma, séries, et d’innombrables vidéos sur les réseaux sociaux.
Cette propagande quotidienne diffuse toujours le même message, toujours dans le même sens, sans aucun regard critique. Sous couvert de défense de la diversité de genre, le transactivisme banalise les mutilations sexuelles et la stérilisation des jeunes en souffrance psychiatrique. Alors que toutes les études attestent que 75 à 90% des problèmes de dysphorie de genre disparaissent d’eux-mêmes à l’entrée dans l’âge adulte.
La propagande transactiviste frappe désormais une majorité de filles adolescentes et cible des enfants de plus en plus jeunes.
Or 35% des jeunes trans sont autistes et/ou TDAH. La plupart ont des antécédents psychiatriques liées à un passé de violences sexuelles, ou diverses pathologies, sachant que 80% des troubles psychiatriques se déclarent entre 15 et 20 ans.
70% de ces jeunes trans sont de futurs homosexuels.
Ils ont été convaincus par cette idéologie réactionnaire que s’ils ne sont pas conformes aux stéréotypes de genre, c’est qu’ils sont nées dans un mauvais corps. Il faut donc conformer son corps à l’autre sexe à coups d’hormones de synthèse et de chirurgies. Sous les paillettes de la propagande transactiviste, la stérilisation des autistes, des homosexuels et la mutilation sexuelle des filles deviennent inclusives, progressistes et trendy !
La plupart des gens constatent ce délire consternés et impuissants, muselés par le harcèlement en ligne, et une propagande victimaire extrêmement agressive. Les personnes critiques sont taxées d’être d’extrême droite, nazis, réactionnaires, ou « transphobes » alors que la majorité de ces critiques émanent d’universitaires, de journalistes et féministes de gauche et de citoyens ordinaires.
En parallèle les transactivistes se gardent bien de reprocher quoi que ce soit aux personnes qui sont réellement d’extrême droite, et pour cause, parce que ceux-ci s’en moquent éperdument ! L’idéologie du genre a triomphé sous l’ère Trump. Parmi les chrétiens conservateurs il y en a beaucoup qui préfèrent avoir une fille « née dans un corps de garçon » plutôt qu’un garçon homosexuel efféminé. Dans les théocraties religieuses du moyen orient la transsexualité est l’unique échappatoire à des rôles sociaux sexuels extrêmement rigides et l’homosexualité est punie de mort. De nombreux hommes efféminés, n’ont pas d’autre choix que de se faire passer pour une femme ou mourir.
Avant de gazer les personnes atteintes de problème psychiatriques, le troisième Reich les a d’abord stérilisé en masse.
La transidentité est une mode qui a pour conséquence de stériliser une génération d’adolescents autistes et de gamins qui souffrent de problématiques psychiatriques. Je pense que parmi les réactionnaires, les vrais, un grand nombre d’entre eux s’en réjouissent…
Derrière l’accusation de transphobie, qui est bien évidemment fausse et diffamante, il y a aussi l’idée d’être « mécréants » de l’idéologie du genre. On n’aurait pas le droit de ne pas croire à cette idéologie, et surtout pas de parler des problèmes de santé publique qu’elle pose sur des mineurs. Il y a actuellement un climat de terrorisme intellectuel qui censure tout débat public pour imposer partout une idéologie en déconnection complète avec la science et la biologie.
Hélas, les pouvoir publics se taisent alors que l’explosion des demandes de mutilations sexuelles des mineurs devrait allumer tous les signaux d’alarmes. En matière de transidentité, les décisions sont prises sans aucune concertation publique. La population est mise devant le fait accompli.
Les psychologues et les psychiatres raisonnables sont muselés ou restent muets de peur d’être harcelés et taxés de réactionnaires, terrifiés qu’une mauvaise réputation nuise à leur carrière. En revanche les médecins qui se font du beurre sur les mutilations sexuelles des jeunes en souffrance psychiatrique sont extrêmement bavards, et trouvent des échos partout. C’est pourquoi les informations sur la transidentité sont systématiquement biaisées.
Résultat, le défenseur des droits et le Ministère de l’Éducation Nationale ont récemment pris fait et cause pour le transactivisme, essentiellement par ignorance. La propagande de l’idéologie du genre se mène désormais directement dans les écoles, encouragées à favoriser la réassignation sexuelle des jeunes « non conformes » aux stéréotypes de genre. Alors même que la Suède, la Finlande, et le Royaume-Uni font marche arrière.
Il n’y a pas de contre-pouvoir sur ce sujet parce que les réseaux sociaux sont les gendarmes de l’idéologie du genre. Les personnes critiques vivent dans un climat de censure permanente. Elles peuvent être déplate-formisés, licenciées pour un tweet. Elles sont menacées de viol ou de meurtre par des fous furieux, même lorsque ce sont des célébrités et qu’elles émettent des propos qui sont des banalités scientifiques.
Conséquence, aujourd’hui même, en France, des médecins prescrivent des hormones sexuelles contraires à des ados dès la première séance, parfois en visio. Le planning familial entame des parcours de réassignation sexuelle chez des mineurs sans leur faire rencontrer ni psychiatre ni endocrinologue. Une gamine de 14 ans avec des antécédents psychiatriques peut-être inscrite sur une liste d’attente pour subir une double mammectomie au bout de la troisième séance !
La situation est d’autant plus grave que dans le sillage de WPATH, l’organisation mondiale de la médecine transgenre, Trans Santé France prépare des recommandations dites « d’autodétermination éclairée » : l’objectif est de conduire au parcours de réassignation sexuelle immédiate, sans aucun diagnostique de dysphorie et sans même l’avis d’un médecin, y compris chez des mineurs. Le document stipule que « la décision d’affirmation de genre est de la responsabilité de la personne concernée et non de celle du médecin ».
Dans quel secteur de la médecine dans le monde réel, un patient a-t-il le pouvoir de décider seul du traitement médical qu’il doit recevoir ? Aucun !
La dimension idéologique et sectaire du phénomène est évidente lorsqu’on examine ce qu’il se passe sous le parapluie « trans » : parmi les défenseurs enragés du transactivisme se trouvent de nombreuses personnes qui ne sont pas trans du tout. Et parmi les personnes trans, il y en qui partagent exactement le même point de vue que le mien, celui des critiques de l’idéologie du genre : attention au gouffre entre la propagande et la réalité, attention aux effets secondaires graves des traitements, attention à ne pas précipiter vers la réassignation sexuelle des personnes fragiles sous influence qui souffrent de problèmes qui n’ont rien à voir avec la dysphorie de genre, attention en particulier aux enfants !
Le sujet est tellement biaisé, que des personnes trans qui ne sont pas transactivistes sont appelés « transphobes » par des transactivistes qui ne sont pas trans.
Pour toutes ces raisons il est urgent de défaire les nœuds que cette idéologie sectaire nous met dans le cerveau, prendre du recul et examiner les faits avec objectivité.
C’est pourquoi j’ai entrepris de réaliser ce documentaire : pour disposer d’un travail journalistique complet et synthétique qui permette à chacun de comprendre les tenants et aboutissants de l’épidémie de transidentité qui frappe les pays de l’ouest, d’un point de vue épidémiologique, sociologique, psychologique et économique.
Votre soutien dans ce projet est absolument essentiel.
Compte tenu du déséquilibre phénoménal des forces en présence financer les projets critiques du transactivisme est quasi impossible par des voies ordinaires.
« Mauvais genre – un scandale sanitaire » va permettre de déclencher un débat public sur ce sujet de société. Il s’agit de protéger des gosses en souffrance psychiatrique.
Vous pouvez jouer un rôle essentiel : Alors merci pour votre contribution !
Merci de partager cet appel autour de vous, merci de faire avancer la liberté d’expression et permettre à la raison, à l’examen objectif des faits, de reprendre leurs droits sur l’idéologie.
Sophie ROBERT
A QUOI VONT SERVIR LES FONDS ?
Aujourd’hui les besoins sont un minimum de 15000 euros minimum pour terminer la post production de ce documentaire 90 minutes.
La somme sera consacrée aux finitions du montage son et image (8 semaines environs), à l’achat de logiciels, plug in, de musique, et de prestations diverses (mixage, étalonnage, synthés et bancs titres, sous titrage).
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